extrait de l’album « The hole in days, the oldest teen ans the chataracters », sortie 2024.
autoportrait
LITTLENOVO est un sorcier, dont la source est le rock des 90’s.
Biberonné par Nirvana, il puise son nom chez le bassiste du groupe mythique, Krist Novoselic. Il en est fan, par attirance pour celui qui est dans l’ombre de l’autre, pour sa voix accidentée sur l’intro de « Territorial Pissing », pour son allure dégingandée, inadaptée. Cela lui parle.
Biberonné par Nirvana, il puise son nom chez le bassiste du groupe mythique, Krist Novoselic. Il en est fan, par attirance pour celui qui est dans l’ombre de l’autre, pour sa voix accidentée sur l’intro de « Territorial Pissing », pour son allure dégingandée, inadaptée. Cela lui parle.
Il est abreuvé des mélodies de Radiohead, Eels, Muse ou des Smashing Pumpkins, prend ici ou là des shots de Rage Against The Machine et en sort grisé par le chant scandé et les textes impliqués.
Il mène sa barque en Irlande et au Royaume-Uni et ses compositions s’étoffent d’expériences de vie, de blessures, mais aussi de l’imaginaire d’un enfant perdu qui cherche sa voie à travers des voix. Elles sont plusieurs, elles s’entremêlent, et même s’il est seul en scène, LittleNovo n’est jamais solitaire sous son couvre-chef : à lui seul, bien des personnages, comme a dit en son temps un très fameux William.
Alors il les jouera tous, entre ombre et lumière. C’est dans sa langue d’adoption, celle du fameux William, que s’expriment et se déclinent ses tristesses infinies, ses personnages
fantasmés et ses cris de rage, servis par des guitares et des programmations créées avec le concours du producteur musical Fabien Cruzille
fantasmés et ses cris de rage, servis par des guitares et des programmations créées avec le concours du producteur musical Fabien Cruzille