autoportrait
Des tempos qui se dilatent dans un roulis de machine à laver élastique.
Les amarres sont larguées et La Strizza navigue vers des mélodies de sirènes lointaines.
Enveloppé de brouillards harmoniques persistants comme le fond diffus d’une adolescence punk pop, le trio construit avec obstination son lego rythmique, mais voilà qu’une bourrasque de particules électroniques les contraint au silence et les oblige à pagayer vers de nouveaux rivages…