Au début du siècle dernier, on disait que « le violon calme assez bien les personnes atteintes de kleptomanie », tandis que « le piston est indispensable aux malheureux que tourmente le délire des grandeurs ». On déclinait ainsi, dans quelques Annales africaines de 1924, la liste des instruments dans une sorte de tableau des pathologies : « La caisse donne des jambes aux ataxiques. La flûte combat victorieusement tous les cas d’affaiblissements cérébraux. »
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