Microsoft devait s’en réjouir : en 2015, une étude de son cru affirmait que les environnements numériques avaient modifié notre mémoire en la réduisant parfois à celle d’un… poisson rouge.
De son côté, l’Institut national de la santé publique du Québec (INSQ) calculait, en 2016, que les individus de 12 à 24 ans se divertissaient devant un écran en moyenne 35 heures par semaine. Quelques années plus tôt, des chercheurs avaient affirmé qu’un jeune de 18 ans avait déjà été exposé à 33 000 heures de productions médiatiques. Après deux ans de pandémie, ces chiffres sont loin d’être à la baisse…
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