« Lao La Montagne », nouvelle vidéo de DOUM TAKA [musiques de l’Océan Indien et d’Afrique / Mulhouse]

communiqué
En ce mois d’octobre 2021, 13 ans après le classement du Maloya au patrimoine immatériel de l’humanité par l’UNESCO, laissez vous conduire ailleurs par notre musique.
Lao la montagne raconte de comment la musique et la nature peuvent sauver tout homme et femme qui se sent emprisonné-e par la routine et la banalité de l’existence.

autoportrait
DOUM TAKA puise ses racines World Musique à la croisée de l’Océan Indien, de l’Afrique et de l’Orient. La musique jouée par le groupe de 6 musiciens est une fusion MALOYA : cette musique « endémique » de l’Ile de La Réunion, classée depuis 2009 au Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité par l’UNESCO !

DOUM TAKA est de ce fait fier de représenter le coté cosmopolite de la France, de l’Ile de La Réunion en passant par les Caraïbes via l’Alsace.

En termes de références musicales et d’influences on pourrait citer à la volée Ultra Marine, Miriam Makeba, Salif Keita, Oumou Sangaré, Ismaël Lo, Youssou N’Dour, Fela Kuti…
Les rythmes essentiellement ternaires et les textes engagés en créole réunionnais permettent à DOUM TAKA de proposer au public un voyage musical métissé, culturel, interactif et vivant.
Le groupe a été fondé par Olivier Mounoussamy (guitare, chant, percussions), Eric Scalzitti (guitare électrique, ney, oud, chœurs) et Selim Boufrioua (basse, chœurs). Au cours de ses 3 années d’existence, Billy Dominger (percussions africaines), Pascal Méphane (claviers), Anthony Pauloby (batterie) et Roxane Gelis(voix) ont rejoint l’aventure DOUM TAKA.

Les thèmes principaux des chansons sont le respect de la nature, de l’environnement, des êtres humains, l’amour et l’équité. Certaines chansons comme Zanfan Solda et Manzé Gaté traitent de sujets sensibles tels que les enfants soldats, la géopolitique et les conflits armés.
Lao La Montane et Kaskokodolo soulignent quant à eux la synergie nécessaire entre l’ère moderne et notre planète Terre, avec toutes ses précieuses ressources. Et par exemple, Mon Ti Kafrine, Mi Yém Atwé et Dan Mon Zardin sont pour leur part des « hymnes à l’amour ».