autoportrait
Des références il y en a beaucoup. Elles sont là, on les entend. Elles sont multiples et variées. De Sonic Youth à Dalida, de Mylène Farmer à AC/DC, de My Bloody Valentine à Michael Jackson. On s’en fout en fait, pas de chapelle, pas de caste. On fait comme Picasso, « Si je n’ai pas de guitare je prends un synthé ».
On y parle de diurétiques, de l’éternel combat entre le jour et la nuit. Mais aussi d’ennui, de tolérance, de féminisme et d’Amour.