communiqué
Être dos au mur, c’est faire un constat.
C’est arriver à la fin d’un cycle, sans échappatoire possible, à moins d’escalader le mur et d’aller voir ce qui se trouve de l’autre côté.
Être dos au mur, c’est aussi un rappel ; l’écho d’une époque où, à coups de masses et de volonté, une génération entière montrait au monde que la division ne dure qu’un temps – le temps d’un disque, vous dit Grand March.