Choisir un nom d’écrivain pour une musique sans paroles, sans mots, suscite sa part de mystère. Cet apparent paradoxe prend son sens à travers la configuration particulière de Pauwels : un attirail de machines au cœur du rythme, auxquelles s’adjoignent une basse et deux guitares qui tissent un récit, dessinent des paysages. Une construction musicale ésotérique, échafaudée pour être déconstruite. Une communion avec le public, dans une recherche de transe partagée. Pauwels cultive l’inattendu.